Si les Etats-unis ont pris un leadership important dans l’industrie des réseaux sociaux autour des grands leaders tels Facebook, Linkedin et Twitter, ces nouveaux outils permettent aux entreprises du monde entier de faire évoluer leurs pratiques d’affaires. Le web social ouvre de nouvelles perspectives pour les organisations et les entreprises qui en ont compris la portée tant interne auprès des employés (motivation, rétention,…) qu’externe dans l’amélioration de la relation avec leurs clients et les prospects.
Une étude européenne publiée en mai 2012 vient donner des éléments concrets et mesurables des bénéfices retirées par les entreprises qui ont rapidement su tirer profit des réseaux sociaux.
Les réseaux sociaux facteurs de succès
Plus de deux-tiers (67%) des professionnels utilisant les réseaux sociaux que ces outils auront un impact significatif sur la croissance de leur entreprise. 63% annoncent qu’ils ont permis d’augmenter l’efficacité en permettant à leur entreprise d’être plus compétitive. Enfin, 60% des sondés pensent que les réseaux sociaux ont eu une incidence sur leurs ventes ainsi que sur l’attraction et la rétention des talents (59%).
L’étude conduit les auteurs à conclure sur deux grands constats :
1) L’utilisation des réseaux sociaux sont là pour durer. Il améliore l’efficacité opérationelle en renforçant les relations entre les employés tout en donnant aux client une meilleure proximité et un engagement plus fort avec les produits et services de l’entreprise.
La plupart des entreprises s’engagent de manière volontariste dans l’utilisation des médias sociaux pour mieux communiquer, promouvoir et vendre. Le temps est peut-être arrivé où un usage interne pourrait contribuer à révolutionner les pratiques internes autour de la capacité de collaboration et d’échanges offertes par ces outils. Un usage pour améliorer les pratiques mais aussi motiver les ressources ou attirer et conserver les meilleurs talents.
C’est à mon sens le prochain grand défi des entreprises qui ont déjà vu les médias sociaux comme des outils de productivité et non comme un encouragement à la dispersion.
Source : MillwardBrown
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