L’envie d’entreprendre peut vous prendre n’importe quand, à n’importe quel âge. Si tout le monde ne naît pas entrepreneur, on peut le devenir au cours du temps. Cependant, à l’heure de se lancer, il est important de considérer l’alternative de créer sa propre entreprise ou de reprendre ou entreprise existante.
Dans le cadre de la semaine mondiale de l’entrepreneuriat, nous vous proposons de s’interroger sur ce qui est à la base de toute création d’entreprise : votre profil entrepreneur.
Partir de rien ou faire repartir une autre entreprise ?
La question est moins triviale qu’il n’y parait. En effet, la création d’entreprise présente des avantages (partir de SON idée, voir grandir SON bébé,…) mais aussi des inconvénients (la difficulté de trouver les premiers clients, acquérir de la notoriété, auto-financer les premières dépenses,…). Tout comme la reprise qui offre une base de clients acquis mais impose de travailler avec une équipe existante que l’on a pas façonnée à son image (voir notre récent article sur le sujet).
Un test pour en avoir le cœur net !
Si vous êtes indécis et qu’entre les 2 formules votre cœur balance, voici un bon test trouvé sur le net. Il a été conçu et est proposé par le Réseau Entreprendre, une association constituée de chefs d’entreprises qui a pour mission d’accompagner, sous différentes formes, de nouveaux entrepreneurs. Prenez quelques minutes pour dessiner votre profil. Vous découvrirez peut-être que vous seriez plutôt enclin à faire une relève d’entreprise que de lancer votre propre startup. Cela en vaut vraiment la peine…
L’entrepreneuriat vous intéresse et vous souhaitez plus d’information pour créer votre entreprise au Québec, débutez ici…
Si votre profil est définitivement celui d’un repreneur, il y a de nombreuses opportunités qui s’offrent à vous. Lire cet article…
Encore un doute ? Pourquoi ne pas lire mon Startbook du nouvel entrepreneur, vous y trouverez peut-être matière à réflexion.
Et si décidément le choix s’avère trop difficile, un dernier recours pour sortir de ce dilemme cornélien : appelez-moi pour en parler…