A L’heure où tous les grands responsables politiques de la planète sont réunis à Copenhague au Sommet sur les changements climatiques pour décider (ou non) de poser un geste fort en vue de lutter contre le réchauffement climatique, il est bon de rappeler qu’au delà de ces accords internationaux, chacun peut agir dans sa propre organisation pour limiter les impacts de ses activités sur l’environnement.
EnviroCompétences, Comité sectoriel de main-d’oeuvre de l’environnement situé à Montréal a édité en septembre 2009 un Guide de gestion et d’implantation d’une politique de développement durable qui s’adresse à tout organisme ou toute entreprise désiseux de prendre en main efficacement le volet Développement durable.
Si ce guide de gestion ne constitue ni un livre de recettes, ni même une méthode, mais un ensemble de moyens et de gestes, généralement simples à appliquer et qui pourront globalement faire une réelle différence, il faut aussi préciser que la gestion du développement durable doit s’inscrire dans le système de gestion général d’une organisation. Cette gestion « durable » doit teinter tous les aspects du système : la structure organisationnelle, les pratiques, les politiques, la prise de décision, la planification, les procédures et les directives consacrées, de près ou de loin, à la mise en oeuvre de la politique. Elle doit faire l’objet d’une démarche proactive qui implique l’ensemble des employés dans le but d’obtenir une adhésion collective et des résultats tangibles.
Pour télécharger le document : Guide_Développement Durable